KURDISH SURVEY vient de lancer un blog de sondage ouvert aux participants du monde entier.
L’objectif est de proposer une enquête hebdomadaire sur la question kurde. KURDISH SURVEY souhaite sonder l’opinion publique afin de comprendre comment le peuple kurde est perçu par la communauté internationale.
Merci de participer activement à cette enquête hebdomadaire.
http://kurdish-survey.blogspot.com/
Traduction
lundi 29 mars 2010
lundi 22 mars 2010
Lettre ouverte aux médias français, en particulier à BFM TV
BFM TV a diffusé aujourd’hui l’information suivante : « 50.000 kurdes se sont réunis à Diyarbakir (Turquie) afin de célébrer le nouvel an persan ».
Il est tout particulièrement curieux d’avancer que les Kurdes ont célébré le nouvel an persan, et ce, à Diyabarkir, ville kurde, alors que le Newroz symbolise par excellence une fête nationale kurde célébrée depuis des siècles.
Cette année, Newroz a réuni plus de 500.000 Kurdes à Diyarbakir et non pas 50.000 comme l’a affirmé BFM TV. Avancer que le peuple kurde célèbre le nouvel an d’un autre peuple n’est autre qu’un manque de précision et de culture géopolitique et n’est pas digne d’une chaîne d’information telle que BFM TV.
Cette désinformation est d’autant plus préoccupante que la question kurde, particulièrement sensible, n’est pas suffisament médiatisée.
En tant que spectateurs de BFM TV, nous sommes profondément choqués par cette désinformation qui porte de toute évidence préjudice au patrimoine culturel et historique du peuple kurde et réclamons une rectification immédiate.
Il est tout particulièrement curieux d’avancer que les Kurdes ont célébré le nouvel an persan, et ce, à Diyabarkir, ville kurde, alors que le Newroz symbolise par excellence une fête nationale kurde célébrée depuis des siècles.
Cette année, Newroz a réuni plus de 500.000 Kurdes à Diyarbakir et non pas 50.000 comme l’a affirmé BFM TV. Avancer que le peuple kurde célèbre le nouvel an d’un autre peuple n’est autre qu’un manque de précision et de culture géopolitique et n’est pas digne d’une chaîne d’information telle que BFM TV.
Cette désinformation est d’autant plus préoccupante que la question kurde, particulièrement sensible, n’est pas suffisament médiatisée.
En tant que spectateurs de BFM TV, nous sommes profondément choqués par cette désinformation qui porte de toute évidence préjudice au patrimoine culturel et historique du peuple kurde et réclamons une rectification immédiate.
vendredi 24 avril 2009
Le 23 avril : la fête des enfants en Turquie ou le cauchemar des enfants kurdes
La Turquie organise des festivités tous les ans pour célébrer la fête des enfants. Il s’agit d’une journée dédiée aux enfants que Mustafa Kemal, père fondateur de la République turque, a instaurée le 23 avril 1935 afin de souligner l’importance qu’ils revêtent dans la société.
Lors de cette cérémonie, des enfants de toutes nationalités sont présents pour participer aux activités festives. Cette fête constitue un progrès en matière de reconnaissance des droits des enfants qui sont encore, de nos jours, victimes de maltraitance ou d’esclavage dans certains pays.
La Turquie figure donc parmi les pays « avant-gardistes » en matière de reconnaissance de droits et de progrès. Cependant, on constate de temps en temps quelques simples dérapages comme cela arrive dans tous les pays démocratiques.
Cette photo montre un membre des forces spéciales turques qui attrape un enfant kurde par derrière et le frappe à coups de crosse de mitraillette. Cette scène a lieu le jour de la fête des enfants en Turquie. C’est bien une scène classique en Europe, n’est-ce pas ?
Lors de cette cérémonie, des enfants de toutes nationalités sont présents pour participer aux activités festives. Cette fête constitue un progrès en matière de reconnaissance des droits des enfants qui sont encore, de nos jours, victimes de maltraitance ou d’esclavage dans certains pays.
La Turquie figure donc parmi les pays « avant-gardistes » en matière de reconnaissance de droits et de progrès. Cependant, on constate de temps en temps quelques simples dérapages comme cela arrive dans tous les pays démocratiques.
Cette photo montre un membre des forces spéciales turques qui attrape un enfant kurde par derrière et le frappe à coups de crosse de mitraillette. Cette scène a lieu le jour de la fête des enfants en Turquie. C’est bien une scène classique en Europe, n’est-ce pas ?
Le message est clair : les forces de sécurité en Turquie ont les pleins pouvoirs pour éradiquer toute « menace ». En l’occurrence, la menace venait d’un enfant kurde qui participait à une manifestation en faveur du DTP, parti pro-kurde, pour protester contre les arrestations massives suite à l’échec de l’AKP, parti du Premier ministre turc, lors des élections municipales. Par conséquent, cet enfant était une cible potentielle qu'il fallait à tout prix éliminer.
En réalité, la menace que l’enfant constituait se résumait à une simple marche dans l’objectif d’exprimer son mécontentement à l’égard de la politique du gouvernement dans la région.
Cet enfant était-il un terroriste ?
Cet enfant n’avait pas d’explosifs sur lui.
Cet enfant ne portait pas d’armes.
Cet enfant ne se trouvait pas dans un lieu public pour se faire exploser.
Cet enfant n’avait aucune volonté de vengeance en participant à cette manifestation.
Par contre…
Cet enfant a commis un seul crime…celui d’être Kurde.
S’il sort du coma…
En plus d’être Kurde, cet enfant commettra d’autres crimes, de vrais crimes, à commencer par abattre le monstre que l’on voit sur la photo.
Empêchons donc cet enfant et les autres enfants de devenir des monstres, des terroristes. Pour cela, oeuvrons pour une vraie démocratie en Turquie et la reconnaissance de l’identité kurde.
Pour voir la vidéo de la scène, cliquez sur le lien suivant :
http://www.roj.tv/news/126/ARTICLE/3334/2009-04-23.html
samedi 17 janvier 2009
Pétition en faveur de Leyla Zana - Cliquez ici pour signer
Pétition en faveur de Leyla Zana, ancienne députée du Parti de la Démocratie (DEP), Prix Sakharov 1995 - condamnée à 10 ans de prison par un tribunal turc
Monsieur le Président de la République de Turquie,
Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Président de la Grande Assemblée,
Monsieur le Président de la République de Turquie,
Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Président de la Grande Assemblée,
Madame Leyla Zana vient d’être condamnée à 10 ans de prison par la 5ème Cour pénale de Diyarbakir pour un délit d’opinion sur le fondement d’articles contestables d’un code pénal qui ne garantit pas suffisamment le respect de la liberté d’expression et dans des conditions contestées par la défense.
Rappelons que Madame Leyla Zana, élue en 1991 comme députée de Diyarbakir, arrêtée en 1994, condamnée à 15 ans de prison, libérée en 2004, est très connue en Europe comme militante luttant "contre l’intolérance, le fanatisme et l’oppression" et que son précédent emprisonnement avait suscité de nombreuses protestations.
Rappelons également que Leyla Zana avait reçu en 1995 le "Prix pour la liberté de l’esprit", du nom du scientifique et dissident soviétique Andrei Sakharov, créé en 1988 par le Parlement européen pour honorer les personnes ou les organisations qui ont marqué de leur empreinte le combat en faveur des Droits de l’Homme et pour la défense des libertés.
Au nom de la liberté d’expression, nous vous demandons de vous opposer à une nouvelle incarcération de Madame Leyla Zana, d’arrêter les poursuites et d’engager résolument la Turquie sur la voie de la démocratie et de la paix.
Respectueusement,
PREMIERS SIGNATAIRES
Danielle Mitterrand, Présidente de France Libertés Fondation Danielle Mitterrand ;
Michel Rocard, ancien Premier Ministre, Député européen ;
Edmond Hervé, ancien Ministre, ancien Député-Maire de Rennes, Sénateur d’Ille-et-Vilaine ;
Patricia Adam, Députée du Finistère ;
Philippe Tourtelier, Député d’Ille-et-Vilaine ;
Michel Vaxes, Député des Bouches-du-Rhône ;
Jean Cornil, Député fédéral, Chambre des Représentants (Belgique) ;
Luisa Morgantini, Vice-Présidente du Parlement européen ;
Bernard Poignant, Député européen, Maire de Quimper ;
Roselyne Le François, Députée européenne, adjointe au Maire de Rennes déléguée aux partenariats et aux relations internationales ;
Vittorio Agnoletto, Député européen, coordinateur du groupe d’amitié PE-Kurdes ;
Vincenzo Aita, Député européen ;
Frieda Brepoels, Députée européenne ;
Marie-Arlette Carlotti, Députée européenne ;
Giusto Catania, Député européen ;
Roberto Musacchio, Député européen ;
Dimitrios Papadimoulis, Député européen ;
Feleknas Uca, Députée européenne ;
Claudy Lebreton, Président du Conseil général des Côtes-d’Armor ;
Jean-Louis Tourenne, Président du Conseil général d’Ille-et-Vilaine ;
Daniel Delaveau, Maire de Rennes ;
Gaëlle Abily, vice-Présidente du Conseil régional de Bretagne en charge de l’égalité professionnelle, adjointe au Maire de Brest chargée de la culture ;
Christian Guyonvarc’h, vice-Président du Conseil régional de Bretagne chargé des affaires européennes et internationales, co-Président du réseau NRG4SD (réseau mondial des gouvernements régionaux pour un développement soutenable) ;
Pascale Loget, vice-Présidente du Conseil régional de Bretagne ;
Mona Bras, Conseillère régionale de Bretagne et porte-parole de l’Union Démocratique Bretonne ;
Naig Le Gars, Conseillère régionale de Bretagne ;
Joël Dutto, Conseiller municipal de Marseille et Conseiller communautaire de Marseille Provence Métropole ;
Geneviève Fréour, Conseillère municipale de Douarnenez ;
Monique Prévost, ancienne Maire de Douarnenez ;
Georges Avignon, adjoint au Maire de Chartres-de-Bretagne de 1997 à 2008 ;
André Métayer, Président des Amitiés kurdes de Bretagne ;
Francis Le Herissé, Président du MIDAF - 35132 Vezin-le-Coquet ;
Renée Le Mignot, Mouloud Aounit et Bernadette Hétier, membres du collège de la présidence du MRAP ;
Pierrick Hamon, Président de la Fondation Félicité de Lamennais, Saint-Brieuc, militant de l’entrée de la Turquie dans l’UE ;
Sylvie Jan, amie de Leyla Zana, ex-présidente de Femmes solidaires
PREMIERS SIGNATAIRES
Danielle Mitterrand, Présidente de France Libertés Fondation Danielle Mitterrand ;
Michel Rocard, ancien Premier Ministre, Député européen ;
Edmond Hervé, ancien Ministre, ancien Député-Maire de Rennes, Sénateur d’Ille-et-Vilaine ;
Patricia Adam, Députée du Finistère ;
Philippe Tourtelier, Député d’Ille-et-Vilaine ;
Michel Vaxes, Député des Bouches-du-Rhône ;
Jean Cornil, Député fédéral, Chambre des Représentants (Belgique) ;
Luisa Morgantini, Vice-Présidente du Parlement européen ;
Bernard Poignant, Député européen, Maire de Quimper ;
Roselyne Le François, Députée européenne, adjointe au Maire de Rennes déléguée aux partenariats et aux relations internationales ;
Vittorio Agnoletto, Député européen, coordinateur du groupe d’amitié PE-Kurdes ;
Vincenzo Aita, Député européen ;
Frieda Brepoels, Députée européenne ;
Marie-Arlette Carlotti, Députée européenne ;
Giusto Catania, Député européen ;
Roberto Musacchio, Député européen ;
Dimitrios Papadimoulis, Député européen ;
Feleknas Uca, Députée européenne ;
Claudy Lebreton, Président du Conseil général des Côtes-d’Armor ;
Jean-Louis Tourenne, Président du Conseil général d’Ille-et-Vilaine ;
Daniel Delaveau, Maire de Rennes ;
Gaëlle Abily, vice-Présidente du Conseil régional de Bretagne en charge de l’égalité professionnelle, adjointe au Maire de Brest chargée de la culture ;
Christian Guyonvarc’h, vice-Président du Conseil régional de Bretagne chargé des affaires européennes et internationales, co-Président du réseau NRG4SD (réseau mondial des gouvernements régionaux pour un développement soutenable) ;
Pascale Loget, vice-Présidente du Conseil régional de Bretagne ;
Mona Bras, Conseillère régionale de Bretagne et porte-parole de l’Union Démocratique Bretonne ;
Naig Le Gars, Conseillère régionale de Bretagne ;
Joël Dutto, Conseiller municipal de Marseille et Conseiller communautaire de Marseille Provence Métropole ;
Geneviève Fréour, Conseillère municipale de Douarnenez ;
Monique Prévost, ancienne Maire de Douarnenez ;
Georges Avignon, adjoint au Maire de Chartres-de-Bretagne de 1997 à 2008 ;
André Métayer, Président des Amitiés kurdes de Bretagne ;
Francis Le Herissé, Président du MIDAF - 35132 Vezin-le-Coquet ;
Renée Le Mignot, Mouloud Aounit et Bernadette Hétier, membres du collège de la présidence du MRAP ;
Pierrick Hamon, Président de la Fondation Félicité de Lamennais, Saint-Brieuc, militant de l’entrée de la Turquie dans l’UE ;
Sylvie Jan, amie de Leyla Zana, ex-présidente de Femmes solidaires
Source: site Amitiés Kurdes de Bretagne
mercredi 24 décembre 2008
Comment résoudre l’équation de l'existence turque ?
En règle générale, les mathématiques constituent une science exacte et permettent de résoudre un problème avec une véracité inattaquable.
La question kurde est un problème qui n’a pas pu être résolu depuis des siècles. Certaines sciences telles que les sciences politiques souffrent de pertinence et de précision afin d’apporter une solution finale au problème kurde.
Essayons de voir si les mathématiques peuvent nous être d’une certaine utilité en vue de trouver une réponse au problème kurde.
- Kurdes = Y
- Turcs = X
Explication des données ci-dessus :
Les Turcs existent si et seulement les Kurdes n’existent pas, ce qui donne l’équation suivante :
Turc = X-Y Notez bien que l’équation « Turc = X » est différente de l’équation Turc = X-Y.
Nous, mathématiciens kurdes, estimons que l’équation « Turc =X » est suffisante pour prouver l’existence des Turcs. Or, les mathématiciens turcs estiment que les Kurdes est une donnée qu’il faut inclure dans l'équation sous forme de soustraction afin de trouver la solution pure de l’existence des Turcs.
Nous, mathématiciens kurdes, proposons tout simplement les deux équations suivantes :
Kurdes = Y
Turcs = X
Ces deux équations ont pour solution deux Etats indépendants : E(Y) et E(X)
Bref, il faut juste savoir que renier l’existence d’un peuple pour prouver celle de son propre peuple est une science inexacte et surtout injuste. L’équation proposée par les dirigeants turcs depuis la création de la République ne fait que renforcer la volonté d’exterminer progressivement le peuple kurde.
Par contre l’équation suivante est tout à fait acceptable :
Etat kurdo-turc = Y + X
Il s’agit d’un Etat fédéral ou fortement décentralisé.
La phobie turque vient du fait qu’elle est représentée sous la variable X qui est normalement une variable inconnue. Mais nous rassurons nos amis turcs que le monde entier les reconnaît officiellement et que leur existence a désormais un certain fondement.
Si les Trucs ont des doutes sur leur propre existence, nous pouvons leur proposer une autre équation qui serait Turc = T.
D’où T = Peuple très ancien avec une histoire extrêmement riche
La question kurde est un problème qui n’a pas pu être résolu depuis des siècles. Certaines sciences telles que les sciences politiques souffrent de pertinence et de précision afin d’apporter une solution finale au problème kurde.
Essayons de voir si les mathématiques peuvent nous être d’une certaine utilité en vue de trouver une réponse au problème kurde.
- Kurdes = Y
- Turcs = X
Explication des données ci-dessus :
Les Turcs existent si et seulement les Kurdes n’existent pas, ce qui donne l’équation suivante :
Turc = X-Y Notez bien que l’équation « Turc = X » est différente de l’équation Turc = X-Y.
Nous, mathématiciens kurdes, estimons que l’équation « Turc =X » est suffisante pour prouver l’existence des Turcs. Or, les mathématiciens turcs estiment que les Kurdes est une donnée qu’il faut inclure dans l'équation sous forme de soustraction afin de trouver la solution pure de l’existence des Turcs.
Nous, mathématiciens kurdes, proposons tout simplement les deux équations suivantes :
Kurdes = Y
Turcs = X
Ces deux équations ont pour solution deux Etats indépendants : E(Y) et E(X)
Bref, il faut juste savoir que renier l’existence d’un peuple pour prouver celle de son propre peuple est une science inexacte et surtout injuste. L’équation proposée par les dirigeants turcs depuis la création de la République ne fait que renforcer la volonté d’exterminer progressivement le peuple kurde.
Par contre l’équation suivante est tout à fait acceptable :
Etat kurdo-turc = Y + X
Il s’agit d’un Etat fédéral ou fortement décentralisé.
La phobie turque vient du fait qu’elle est représentée sous la variable X qui est normalement une variable inconnue. Mais nous rassurons nos amis turcs que le monde entier les reconnaît officiellement et que leur existence a désormais un certain fondement.
Si les Trucs ont des doutes sur leur propre existence, nous pouvons leur proposer une autre équation qui serait Turc = T.
D’où T = Peuple très ancien avec une histoire extrêmement riche
dimanche 14 décembre 2008
L’Humanité est une espèce qui devient répugnante...
Les hommes en tant que groupe d’êtres vivants se distinguent des autres espèces de par leurs caractéristiques morphologiques, anatomiques, physiologiques, biochimiques et génétiques.
En plus de ces caractéristiques, les hommes possèdent des capacités et des aptitudes qui sont souvent inexistantes chez les autres espèces.
De nos jours, les hommes développent constamment leurs capacités et leurs aptitudes en vue d’élever l’Humanité au rang de "l’espèce parfaite". Il y a sans aucun doute énormément de progrès en ce sens.
En tant qu’être humain, nous pouvons être fières de notre appartenance à ce groupe dont l’objectif final est d’instaurer le paradis sur terre, c’est-à-dire construire un monde parfait.
L’Histoire nous apprend que les hommes se sont engagés au fur et à mesure à pacifier les relations entre eux tout en développant des techniques d’extermination qui sont de plus en plus radicales. La volonté de certains Etats à mettre en place l’arme nucléaire met bien en exergue la tentation de vouloir corrompre l’Humanité.
Aucun bilan n’a été dressé jusqu’à présent afin de prendre connaissance des progrès accomplis par les hommes. Cependant, il existe des photos qui permettent de voir le constant actuel, le constat du XXIème siècle.
Cliquez sur ce lien pour voir ces photos : http://zinarala.blogspot.com/2008/11/unas-fotos-trgicas-sacadas-por-soldados.html
Après avoir visionné ces photos, vous allez vous rendre compte que nous avons, en tant qu’êtres humains, un combat à mener : celui de lutter contre la dégénérescence de l’Humanité.
Cette dégénérescence ne doit pas être acceptée au nom de l’intérêt national ou étatique. Nous devons promouvoir l’épanouissement de l’Humanité. Un tel objectif n’est pas utopique, au contraire il vise à se sentir plus humain.
Le changement climatique a pendant longtemps été perçu comme un sujet à la mode, voire inutile, cependant le bilan actuel oblige les Etats à faire des sacrifices en vue de préserver notre environnement de manière durable pour laisser un héritage propre à nos enfants.
Cette dégénérescence humanitaire est comparable au changement climatique. Si nous n'agissons pas aujourd’hui, les générations futures vivront dans un monde de dégénérés.
En plus de ces caractéristiques, les hommes possèdent des capacités et des aptitudes qui sont souvent inexistantes chez les autres espèces.
De nos jours, les hommes développent constamment leurs capacités et leurs aptitudes en vue d’élever l’Humanité au rang de "l’espèce parfaite". Il y a sans aucun doute énormément de progrès en ce sens.
En tant qu’être humain, nous pouvons être fières de notre appartenance à ce groupe dont l’objectif final est d’instaurer le paradis sur terre, c’est-à-dire construire un monde parfait.
L’Histoire nous apprend que les hommes se sont engagés au fur et à mesure à pacifier les relations entre eux tout en développant des techniques d’extermination qui sont de plus en plus radicales. La volonté de certains Etats à mettre en place l’arme nucléaire met bien en exergue la tentation de vouloir corrompre l’Humanité.
Aucun bilan n’a été dressé jusqu’à présent afin de prendre connaissance des progrès accomplis par les hommes. Cependant, il existe des photos qui permettent de voir le constant actuel, le constat du XXIème siècle.
Cliquez sur ce lien pour voir ces photos : http://zinarala.blogspot.com/2008/11/unas-fotos-trgicas-sacadas-por-soldados.html
Après avoir visionné ces photos, vous allez vous rendre compte que nous avons, en tant qu’êtres humains, un combat à mener : celui de lutter contre la dégénérescence de l’Humanité.
Cette dégénérescence ne doit pas être acceptée au nom de l’intérêt national ou étatique. Nous devons promouvoir l’épanouissement de l’Humanité. Un tel objectif n’est pas utopique, au contraire il vise à se sentir plus humain.
Le changement climatique a pendant longtemps été perçu comme un sujet à la mode, voire inutile, cependant le bilan actuel oblige les Etats à faire des sacrifices en vue de préserver notre environnement de manière durable pour laisser un héritage propre à nos enfants.
Cette dégénérescence humanitaire est comparable au changement climatique. Si nous n'agissons pas aujourd’hui, les générations futures vivront dans un monde de dégénérés.
samedi 27 septembre 2008
Despêka pirsgirêkan di navbera Roj Tv û Kurd 1 de
Wek hemû kes dizanin, miletê Kurd di gelek beşan de bipêşveçûnên mezin û xurt nişan dide. Pirr caran em pirsgirêkên û pefçûnên di nav bera Kurdan de wek kimasiyek dibînin. Rast e, mirov dikare bêje ku di demek wusa de yekitiya gelê kurd gelekî gring e, lê yekitî nayê wateya ku em hemû kurd wek hev xebata xwe bidin meşandin. Cudayetî bingeha dewlemendiyê ye, lewma pêwîst e ku armanca me yek be, lê rêyên bervê vê armancê diçin dikarin cuda bin.
Roj tv û Kurd 1: cudayetiyek ideolojîk yan jî naverok û formatek cuda ?
Roj Tv televîzîyonek guhtejî ye û bi salan bernamên dewlemend pêşkeşî gelê kurd dike. Bêgûman, em bi xebata wan gelekî kêfxweş in.
Dema ku Kurd 1 despêka bermanên xwe da xuya kirin, ez wek kurdekî serbilind bûm. Em dikarin êdî bêjin televîziyonên me hene û em dikarin reqîbiyetîyê ji televîziyonên biyanî re bikin, bitaybetî ji televîziyonên gelê me asîmîle dikin.
Nûçeyên li ser pisgirêka di nav bera Roj tv û Kurd 1 hinek spekulatorên siyasî ên kurd kêfxweş kir. Mixabin spekulator bi hilweşandinê xwe xwedî dikin, spekulatorên kurd jî firsetên wusa digerin. Lewma pêwîst e ku em gelê kurd heşiyar bin û nekevin nav listikên spekulatorên siyasî. Pêwîst e ku em ji hemû televiziyonên xwe hez bikin û ji bo cudayetiyên wan rêz bidin.
Dewsa ku em kanalên turkan yan jî ereban û farsan temaşe bikin, em li kanalên xwe xwedî derkevin. Bêgûman, em ê rexnên xwe jî bikin lê ne bi devê spekulatoran.
Bila televîziyonên me nebin çekên teknolojîk ji bo birakujîyek nû.
Televîziyonên kurdî dikarin yekitiya Kurdan xurtir bikin?
Roj bi roj neyarên me dixwazin gelê me tune bikin û bi rastî jî hemû delfetên xwe bikar dînin. Bi sed salan gelê me berxweda lê mixabin televîziyon wek jahr tê kar anîn ji bo asîmilasyona Kurdan. Lewma pêwîst e ku em jî televîziyonên xwe wek antîdot li himberî siyaseta wan bixebitînin.
Pirsgirêkên di nav bera kurdan de û di nav bera sayizên wan de dikarin pozîtîv werin xuya kirin. Ji ber ku li hemû welatên demokratîk, cudayetî tê wateya dewlemendîyê. Em ji bîr nekin ku sînorên cudayetiyên me li kuderê diqedin. Dema ku yekitî pêwîst e, cudayetî bi dawî dibe yan jî bi dawî nebe, xeterî dest pêdike.
Iroj pêve, em dikarin bi hev bixebitin û alikariya hev bikin.
Bi kurtasî, ev pisgirêk pirsgirêkên hemû televîziyonan in lê em wek miletekî dikarin heşiyar bin ji bo ku nebin pisgirêkên miletê kurd.
Roj tv û Kurd 1: cudayetiyek ideolojîk yan jî naverok û formatek cuda ?
Roj Tv televîzîyonek guhtejî ye û bi salan bernamên dewlemend pêşkeşî gelê kurd dike. Bêgûman, em bi xebata wan gelekî kêfxweş in.
Dema ku Kurd 1 despêka bermanên xwe da xuya kirin, ez wek kurdekî serbilind bûm. Em dikarin êdî bêjin televîziyonên me hene û em dikarin reqîbiyetîyê ji televîziyonên biyanî re bikin, bitaybetî ji televîziyonên gelê me asîmîle dikin.
Nûçeyên li ser pisgirêka di nav bera Roj tv û Kurd 1 hinek spekulatorên siyasî ên kurd kêfxweş kir. Mixabin spekulator bi hilweşandinê xwe xwedî dikin, spekulatorên kurd jî firsetên wusa digerin. Lewma pêwîst e ku em gelê kurd heşiyar bin û nekevin nav listikên spekulatorên siyasî. Pêwîst e ku em ji hemû televiziyonên xwe hez bikin û ji bo cudayetiyên wan rêz bidin.
Dewsa ku em kanalên turkan yan jî ereban û farsan temaşe bikin, em li kanalên xwe xwedî derkevin. Bêgûman, em ê rexnên xwe jî bikin lê ne bi devê spekulatoran.
Bila televîziyonên me nebin çekên teknolojîk ji bo birakujîyek nû.
Televîziyonên kurdî dikarin yekitiya Kurdan xurtir bikin?
Roj bi roj neyarên me dixwazin gelê me tune bikin û bi rastî jî hemû delfetên xwe bikar dînin. Bi sed salan gelê me berxweda lê mixabin televîziyon wek jahr tê kar anîn ji bo asîmilasyona Kurdan. Lewma pêwîst e ku em jî televîziyonên xwe wek antîdot li himberî siyaseta wan bixebitînin.
Pirsgirêkên di nav bera kurdan de û di nav bera sayizên wan de dikarin pozîtîv werin xuya kirin. Ji ber ku li hemû welatên demokratîk, cudayetî tê wateya dewlemendîyê. Em ji bîr nekin ku sînorên cudayetiyên me li kuderê diqedin. Dema ku yekitî pêwîst e, cudayetî bi dawî dibe yan jî bi dawî nebe, xeterî dest pêdike.
Iroj pêve, em dikarin bi hev bixebitin û alikariya hev bikin.
Bi kurtasî, ev pisgirêk pirsgirêkên hemû televîziyonan in lê em wek miletekî dikarin heşiyar bin ji bo ku nebin pisgirêkên miletê kurd.
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